et encore vous ajoutez:
"Parlant maintenant de la création et de l’innovation, est ce que nos employeurs investissent dans des projets de recherche et développement ? NON je ne le pense pas, et ce, malgré les avantages accordés par notre Etat." les programmes de mise à niveau vous connaissez? vous pensez qu'au ministère d el'industrie les fonctionnaires se tournent les pouces? eh ben , non, monsieur! beaucoup d'entreprise ont adhéré et savez vous pourquoi l'Etat tunisien encourage L'innovation et la création?? c'est dans une perspective de valorisation de la compétitivité tunisienne; un produit nouveau n'a pas de concurrent il se vendra donc mieux et avec une meilleure marge, ainsi, certains metiers issues de la haute technologie offrent de ssituations trés lucratives pour leurs employés car plus d emarge, plus de moyen ; pour bouster l'esprit il faut pas hesiter sur les moyens. mais quand on regarde le secteur du textil la situation est attristante, toutes ces entreprises qui ferment... c'est parceue trop de charge mais pas assez de marge à cause de la concurrence des pays à bas coûts.
et mon dieu! vous ajouter (vous blasphemez mon ami....)
"Je reviens encore au volet des charges sociales, nos entreprises utilisent l’apprentissage comme un moyen pour faire baisser leur coût de production. L’objectif essentiel de l’apprentissage, faut-t-il le rappeler, est la formation des jeunes afin de leur permettre d’accéder à la qualification. Malheureusement les employeurs concluent des contrats d’apprentissage avec des jeunes pour les faires travailler comme des travailleurs adultes pour 9h/jour dans des conditions humainement dégradantes et les payer 30 à 60% du SMIG !!!!! Il n’y a qu’à voir les petites jeunes filles et garçons qui, à 6h du matin, se rendent au travail pour comprendre de quoi je parle." l'inspection du travail fait des controls quotidiens, les bureau d'apprentissages aussi, tous les apprentis sont suivis et encadrés par l'emplyeur et le bureau des formations de la région. l'accés à la qualification n'est si simple mon ami! comme à l'ecole y'ena qui sont pas faits pour les études dans l'apprentissage des métiers c'est pareil. il est normal que ces jeunes qui sont dans l'entreprise parceque d'abord il n'ont pas suivi de cursus scolaire normal, apprennet un metier pour le reussir et esperer pouvoir obtenir un certificat. ceci est de l'enseignement pratique, tous ne peuvent esperer le reussir puisqu'il y a un niveau à atteindre. autrechose, vous parlez d "petits garçons et petittes filles" vous me faites peur, me semble t il que le minimum d'age est 16 ans... ou 17 je ne sais plus. alors mon ami à cet age la on s eleve tot que ca soit pour aller à l'ecole que pour aller apprendre un métier. il faut pener mon ami, souffrir, bucher se fatiguer pour pouvoir avoir une situation.
vous dites enfin:
"A mon avis il faut pas généraliser abusivement des cas particuliers, les travailleurs tunisiens ne sont pas tous des fainéants. (Floussi 7lel curieux)." il est vrai qu'il ne faut pas généraliser je suis d'accord mais je parle surtout des classes ouvrieres.
Je ne vais plus posté dans ce fil de discussion.
et s'il vous plait vous étes le seul à donner des arguments alors participez encore.
naceur le terme "homme de la rue" est un terme utilisé end roit et n'est en aucun cas déplaisant puisque vous en connaissez le sens. homme de la rue= celui qui n'est pas juriste.
à risque de vous rendre furieux avec mes remarques je tiens à vous dire que j'aime la Tunisie et que l'intérêt a plus de valeur pour moi que mon intérêt personnel. comme les critères de developpement sont du prisme de l'economie et non pas militaires alors j'essaye autant que je peux le faire à mettre des points d'interrogations sur des questions reellement importante pour la tunisie en tant que communauté et non pas en tant qu'individu.