Quelques Infractions routières et leurs sanctions dans le code de la route amendé

Afin de sensibliser les gens à connaitre ce qui les attend en cas d’infraction ou un accident qui en découle, nous apportants un tableau récapitulan un certain nombre d’infractions que tout le monde peut commettre et leurs sanctions que tout le monde (ou presque) les ignore.

 

Infraction

sanction

Obs

Non respect des signalisations ou des indications d’arrêt.

amende allant de cent (100) à deux cents (200)

Emprisonnement de 3 ans et amende de 3000 dinars ou l’une des ces 2 peines

Stationnement ou arrêt ou marche arrière sur la chaussée des autoroutes.

idem

Utilisation de plus d’un permis de conduire de la même catégorie.

idem

Transport de personnes sur un véhicule non aménagé à cet effet.

idem

Non changement du certificat d’immatriculation d’un véhicule dans un délai de trois mois à compter de la date de signature de l’acte de transfert de propriété du véhicule par son propriétaire dont l’identité est mentionnée sur ce certificat ou par celui qui est chargé d’effectuer la cession dudit véhicule ou de la date d’obtention du certificat pour l’immatriculation délivrée par les services de la douane.

idem

Défaut de notification de la destruction d’un véhicule

idem

Utilisation d’un véhicule qui dégage un gaz ou qui émet un bruit dépassant les limites autorisées d’un taux supérieur ou égal à cinquante pour cent

idem

Mise en circulation d’un véhicule lui appartenant sans le soumettre à sa visite technique ou utilisation d’une attestation de visite technique périmée

idem

Refus d’obtempérer au signal d’arrêt ou de se soumettre au contrôle des agents habilités à cet effet et en exercice.

idem

Mise en circulation un véhicule ou un ensemble de véhicules dont le poids total dépasse le poids total autorisé en charge ou le poids total roulant autorisé ou dont le chargement dépasse la charge légale autorisée sur l’essieu.

amende allant de cent (100) à cinq cents (500) dinars

idem

Dépassement de la vitesse maximale autorisée de cinquante (50) km/h ou plus.

Amende allant de cent vingt (120) à deux cent quarante (240) dinars

idem

Conduite contrairement aux prescriptions de la décision de retrait de permis de conduire

Emprisonnement d’un mois au maximum et d’une amende allant de cent vingt (120) à deux cents (200) dinars ou de l’une de ces deux peines seulement

En cas de récidive, il sera prononcé le maximum de l’une des deux peines.

Emprisonnement de 3 ans et amende de 3000 dinars ou l’une des ces 2 peines

Conduite en dépit du retrait du permis prévu à l’article 94 bis du Code de la route

Idem

Non respect des signalisations et des indications des passages à niveau ou traverser ses barrières

Idem

Dépassement interdit

Idem

Fuite de tout conducteur après avoir occasionné des dégâts matériels à un autre véhicule essayant ainsi de se soustraire à sa responsabilité civile

Idem

Pose, utilisation ou installation d’un dispositif de détection de radar dans le véhicule

Idem

  Conduite sous l’empire d’un état alcoolique

emprisonnement de six mois au maximum et d’une amende allant de deux cents (200) à cinq cents (500) dinars ou de l’une de ces deux peines seulement

Emprisonnement de 3 ans et amende de 3000 dinars ou l’une des ces 2 peines en cas d’accident en découlant

Conduite sans permis de conduire ou sans avoir obtenu la catégorie requise

idem

Circuler en sens contraire de la circulation sur les autoroutes ou faire demi-tour, notamment, en traversant le terre-plein ou en empruntant les passages spéciaux

idem

Refus d’obtempérer au signal d’arrêt ou de se soumettre au contrôle des agents habilités à cet effet et en exercice et non respect des barrages physiques posés par ces agents à cet effet

idem

Refus de se soumettre à la procédure relative à la preuve de l’état alcoolique

idem

Utilisation en circulation, par le propriétaire ou le représentant légal d’une personne morale, d’un véhicule dépourvu de plaque de constructeur

idem

Apporter des transformations notables à un véhicule sans autorisation

idem

Circulation avec un véhicule non équipé de deux plaques d’immatriculation pour les véhicules qui doivent être équipés de deux plaques d’immatriculation ou non équipé d’une plaque d’immatriculation pour les véhicules qui doivent être équipés d’une seule plaque d’immatriculation ou circulation par un véhicule dont le conducteur a sciemment couvert totalement ou partiellement sa plaque d’immatriculation ou la circulation avec un véhicule équipé d’une plaque d’immatriculation portant un numéro ne le concernant pas

Emprisonnement de 6 mois à 3 ans et amende allant de 500 dinars à 3000 dinars ou l’une de ces deux peine.

idem

Conduite sous l’empire d’un état alcoolique ou refus de se soumettre à la procédure relative à la preuve de l’état alcoolique

Le permis de conduire est retiré

pour une durée maximale de six mois

Le permis est retiré pour une durée maximale d’un an en cas de récidive au cours d’un an à compter de la date d’expiration de la durée de retrait prononcé.

Circuler en sens contraire de la circulation sur les autoroutes ou faire demi-tour notamment en traversant le terre-plein ou en empruntant les passages spéciaux

pour une durée maximale de six mois.

Le permis est retiré pour une durée maximale d’un an en cas de récidive au cours d’un an à compter de la date d’expiration de la durée de retrait prononcé.

Homicide ou blessure involontaire.

retrait du permis de conduire pour deux ans au maximum.

La durée maximale de retrait est portée à quatre ans s’il est prouvé que le conducteur, au moment de l’accident :

– est sous l’empire d’un état alcoolique ou a refusé de se soumettre à la procédure relative à la preuve de l’état alcoolique ;

– n’est pas titulaire d’un permis de conduire de la catégorie requise ;

– conduit contrairement aux prescriptions de la décision de retrait du permis de conduire ;

– a sciemment pris la fuite au sens de l’article 91 du Code de la route.

La durée maximale de retrait est de quatre ans en cas de récidive dans un délai de deux ans à compter de la date d’expiration de la durée de retrait du permis de conduire prononcée ci-haut.

Causer une blessure involontaire consécutive à un accident de circulation lorsqu’on n’ pas pris les précautions nécessaires durant la conduite.

6 mois d’emprisonnement et une amende de 500 dinars ou l’une de ces 2 peines

Accident consécutif à l’une des infractions mentionnées aux articles 83, 85, 86, 87 et 88 du code de la route.

Emprisonnement de 3 ans et amende de 3000 dinars ou l’une des ces 2 peines

Défaut d’assurance de responsabilité civile établie ou si le conducteur, au moment de l’accident:

Etait sous l’empire de l’alcool

Non titulaire d’un permis de conduire

Conduit malgré un retrait du permis

Emprisonnement de 5 ans et amende de 5000 dinars ou l’une des ces 2 peines

Conducteur même causant l’homicide ou la blessure involontairement a sciemment pris la fuite.

Emprisonnement de 10 ans

SAVOIR VIVRE SUR LA ROUTE:

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Assurance automobiles: Arnaques ou Ignorances?

Avant de commencer, on vous rappel que la loi amendant le code de la route vient d’être publiée au JORT n° 65 du 14/8/2009 ce qui veut dire que désormais, les sanctions prévues par cette loi sont désormais effectives. Faites attention aux radars fixes et aux nouvelles sanctions encourues.

Durant la semaine écoulée, le hasard m’a fait assister à 3 cas:

1er Cas: Une dame roulait à sa droite tranquillement quittant un feu rouge devenu vert. Une autre roulait à ses cotés mais qui s’est rabattu brusquement à sa gauche endommageant par là même le rétroviseur de la 1ère. Constat établi et rempli soigneusement en cochant la case adéquate à cette situation.

Le lendemain, la 1ère étant allée déposer le constat chez son assureur, elle a eu la mauvaise surprise d’apprendre que son cas fait partie des 50%-50%. Partage de responsabilité!!!

2ème Cas: Sur l’avenue parallèle à l’av Jugurtha passant du coté du Stade Zouiten. Un automobiliste allant vers le nord (Hotel Sheraton ex Hilton) quand soudain un Taxi venant en sens contraire a perdu l’équilibre et a dérapé le percutant directement et le poussant en tête à queue. Le taximan a déclaré à la police que c’est le monsieur qui a dérapé et l’a percuté (!!!) et le constat a été établi bon gré malgré la réalité des choses.

3ème cas: au niveau d’un Carrefour de la région des Manazahs (ils sont nombreux), une route principale croisait une artère secondaire mais d’une grande influence. Sure cette petite route il y avait 2 signaux de stop dont une a été mystérieusement disparue. Un automobiliste ne connaissant pas la région, roulant à une haute vitesse, a percuté un taximan (encore un autre) venant du coté diagonal et roulant aussi à une vitesse élevée mais qui croyait en avoir la priorité absolue (!!!). le taxi pratiquement envolé a percuté aussi un autre paisible citoyen venant de l’autre coté.

La police venant constater les faits et n’ayant pas constaté le panneau du stop a procédé à l’application de la règle dite "priorité à droite" et la conclusion: tout le monde est fautif!!!

Pour le 1er et 2ème cas, l’injustice est manifeste. Mais l’ignorance l’est aussi.

D’abord, pourquoi cocher des cases dont vous ignorez les conséquences. Une case cochée implique un régime de remboursement type convenu entre compagnies d’assurance et supposé être accepté par l’assuré.

Il est important de mentionner tous les détails se rapportant à l’identité du conducteur et du véhicule ainsi qu’aux données se rapportant à la police d’assurance sans oublier de rapporter au plus vrai possible le croquis de l’accident mais ne cochez pas un truc que vous ignorez. Consultez votre assureur pour lui expliquer le cas et savoir ce que vous devez faire.

Idem pour le 2ème cas.

Même s’il est vrai que dans un accident notre situation psychologique ne nous permet pas d’agir docilement, il est recommandé de prendre des photos des véhicules en l’état où ils se trouvaient au moment du choc, des traces de pneus, des identités d’éventuels témoins, des emplacements des signaux. Vous en aurez besoin en cas d’un vis-à-vis récalcitrant et de mauvaise foi.

Quant au 3ème cas, il est important de le dire une autre fois: de la règle de priorité, des stops et des feux rouges, les tunisiens s’en foutent pas mal. Avoir la priorité ne doit pas vous pousser à réclamer votre droit de passer en présence de fous de la route.

On reste persuadé que nous allons de pire en pire. Alourdir les sanctions pénales en augmentant les pénalités pécuniaires ne va pas persuader les imbéciles à lever les pieds.

Un automobiliste qui ne respecte pas un feu rouge, celui qui roule à 140 au lieu de 50 km/h ou celui qui prend le volant en état d’ébriété excessive et roule à outrance (pour ne pas citer que ces cas) ne sont des auteurs d’infractions du code la route, mais plutôt des ASSASSINS animés d’intention de TUER donc avec préméditation.

Quand un idiot roulant à 150 km/h et se sent vexé pour respecter un Stop ou céder un passage, tue une famille entière à cause de sa stupide prétention, la justice impose qu’il soit traité comme un vulgaire assassin sans scrupule que la société doit le sanctionner, aussi, sans pitié en le traitant comme un terrifiant assassin.

Au vu de la complexité des dites situations, JurisiteTunisie avait crée un excellent projet consistant dans un site dédié au secteur d’assurance : L’assurance en Tunisie en libre accès. Nous comptons sur vous tous pour faire émerger ce projet et le rendre effectif afin d’apporter toute l’aide dont chaque citoyen en aura besoin un jour ou l’autre. Bien entendu, la rubrique assurance des forums reste ouverte pour relayer le débat. N’hésitez pas à nous rapporter des cas, des astuces, des faits pour en faire tout un système de référence pour les modestes usagers de la route.

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Vocation héréditaire de la nièce : avis favorable du mufti, opposition des juges!!!

Cujas, un membre de nos forums a laissé un message du titre de ce post où il est question d’héritage d’une nièce.

Après l’avoir lu et relu, il m’est apparu que ce message est digne, non seulement d’un simple billet dans le blog, mais d’une invitation à une réflexion plus profonde et plus poussée sur la portée de notre droit successorale.

Je vous invite à le lire attentivement et nous partager sa discussion dans les forums où on doit s’attendre à des avis de spécialistes de cette matière.

Mais disons tout de suite que le titre méritait une petite mise au point: Ce n’est pas opposition des juges, mais fallait peut être dire: opposition d’un(e) juge. Cantonale de surcroit.

C’est par ici qu’on doit commencer. Est-il concevable qu’un juge cantonal bloque par sa seule volonté l’interprétation d’un cas aussi compliqué se rapportant à une matière juridique qui a besoin d’évoluer?

C’est aussi se demander si le juge cantonal ne devrait pas être choisi parmi nos juges les plus compétents et les plus expérimentés au vu de sa compétence étendue et variée?

On se pose la question aussi, comment notre système ne prévoit pas une procédure spéciale pour remédier à toute question juridique délicate dont la réponse influe de manière directe sur la justice et qui, par malheur, ne trouve pas une réponse dans les textes?

N’est-il pas temps de charger la Cour de Cassation de donner des avis hors procédure contentieuse sur les modalités ou les moyens de procéder à combler un vide législatif ou une controverse manifeste d’un texte?

Si on se limite au texte du message de Cujas, on doit dire que c’est une première de voir une sollicitation (indirecte) de l’avis du mufti de la république par nos juges.

Peut-on concevoir un jour que nos hommes politiques chargés de la justice, nos technocrates au sommet de ce ministère et toutes les personnes concernées par la justice abandonnent une sorte d’étroitesse d’esprit académique et penser à associer toutes les parties prenantes à planifier une justice souple et généralement conçue pour ne pas se heurter à un éventuel dogmatisme qui pourrait cantonner le sens d’une loi dans la pensée d’un seul être humain?

La justice n’est pas seulement affaire de magistrats. C’est aussi un domaine où psychologues, professeurs de droit, sociologues, professionnels de métiers, spécialistes de religion et aussi historiens peuvent apporter un plus et contribuer à la rendre plus sociale qu’elle l’est aujourd’hui.

Revenons à la question du jour: notre droit successoral est-il juste? Juste dans le sens de l’égalité et la logique?

Personne ne vous répondra directement.

La raison est simple. Personne ne cherche le fondement de ce droit. On connaît sa source, seulement: le droit musulman.

C’est une pire manifestation de l’étroitesse de l’esprit juridique à confondre source et fondement. Connaître la source d’une loi ne signifie nullement déterminer son fondement. Si fondement n’est pas précisé, la justification d’une loi restera alors un mystère.

La pure altération juridique (Kelsienne) avec un texte recommande impérativement la détermination de son fondement et sa justification. C’est l’âme même de la philosophie de droit.

Pourquoi un droit successoral? Pour répartir une richesse (fondement) de manière juste et égalitaire entre les héritiers (justification).

La logique est très subtile: le sens même du droit c’est la justice et l’égalité. Si ces 2 éléments font défaut, on ne plus parler de droit.

Certes, le droit successoral tunisien tire sa source du droit musulman. La règle est claire: le mâle tient deux parts, la femelle, une seule.

En apparence, cette règle est inégalitaire. C’est mathématique. Mais est-elle juste?

Il faut se poser la question pourquoi une telle répartition? Les jurisconsultes musulmans ont avancé comme explication (entre autre) que la femme est supposée être une future épouse qui aura un mari qui s’en charge. Le mâle, lui, un futur père de famille qui aura besoin de ressources pour s’en occuper. La justification été, à cette époque, juste  au vu de la physionomie de la société et son économie.

Aujourd’hui, cette règle pourrait être plus avantagée. Les femmes travaillent. Les hommes sont presque au chômage. Raison de plus de leur garantir un minimum.

Mais ce n’est pas aussi évident. Nos femmes sont aussi au chômage après leurs études et ce n’est pas évident qu’elles trouvent un mari qui serait capable de subvenir aux besoins de la famille. Elle aura besoin autant que son frère de soutient de richesse familiale.

C’est pour démontrer que la réalité et la justice nécessitent une profonde réflexion pour en décider.

Est-il juste de nier le droit de succession à une nièce quand on sait que des nièces sont plus proches de leurs oncles que de leurs pères ?

Est-il juste de leur refuser ce droit au motif que le CSP ne les cite pas?

Arrêtons de tirer le fil de la source islamique du CSP pour bloquer toute possibilité de discussion.

Soyons honnêtes avec nous même: que reste t-il du droit musulman dans notre CSP?

A vouloir donner davantage de droits à la femme, on s’est décalé d’une longueur de cette source.

En droit successoral, on flirte avec le top de la contradiction et le non sens.

Pour preuve: on accorde au fils adoptif le droit d’hériter alors que l’adoption est interdite!!!!!!

Si on veut passer pour de bons juristes qui se justifient par la chariâa, une nièce serait plus proche…de ce droit.

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PenalNet: Les Avocats pénalistes au Top de la High-tech!!!

Au moment où les barreaux maghrébins et des pays arabes nous gratifient de temps à autre par des congrès finissant toujours par des communiqués à connotation politico-idéologique qui ne changent jamais, ceux de l’Europe bossent à plein temps pour rendre la justice plus accessible et plus efficace en donnant aux juristes européens les moyens nécessaires pour exercer leurs métiers convenablement et contribuer à consolider l’Union Européenne et assurer sa progression.

L’UE n’est pas seulement des institutions, un parlement à Strasbourg et une commission à Bruxelles entre autre, mais aussi des Hommes et des femmes ayant un sens d’appartenance à cet espace et y croient fermement avec tout un système complémentaire et moderne où tout y est.

L’UE est un système. Un Vrai système. Pas une mandhouma (منظومة) qui est devenu le terme arabe à la mode ces jours-ci et qui ne signifie rien. Absolument rien.

L’UE est un système. PenalNet en est un de ses sous systèmes. C’est une plateforme dont le lancement officiel se fera le 24 septembre 2009 à Madrid.

PenalNet est un programme européen, financé par la Commission européenne, se déroule sur 3 ans jusqu’en 2010. 5 barreaux nationaux y participent: ceux de l’Espagne, de France, de Hongrie, d’Italie et de Roumanie.

Son but est de relier électroniquement les avocats pénalistes de différents pays européens et de permettre des échanges confidentiels et sécurisés, notamment dans le cadre des dossiers pénaux transnationaux.

L’accès à PenalNet se fera grâce à une carte à puce contenant un certificat électronique.

Je vous laisse le découvrir sur son adresse web: PenalNet.

Je me demande si notre barreau et son bâtonnier qui découvrent la messagerie par sms et y trouvent une grande joie à jouer avec ou si nos avocats dont certains commencent à passer un bout de leurs temps sur facebook ne savant pas quoi faire: faire du business ou de buzness! Ne doivent pas y penser et chercher à trouver un système qui les relie afin d’échanger les rapports et autres informations et éviter aux et aux autres des déplacements dans des coins périlleux et qui finissent parfois par une voiture volée ou séquestrée et dont certains avocats sont incapables d’assumer la réparation ou le payement de l’indemnité!!

On sait que Voir PenalNet en Tunisie c’est du rêve. Mais tant qu’il nous reste encore la possibilité de rêver, rêvons.

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